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Panem et circenses

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Panem et circenses
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2 avril 2008

Arche de Zoé : à votre bon cœur, Mesdames et Messieurs les contribuables !

Voilà où vont nos impôts !

Selon un courrier du gouvernement tchadien en date du 28 décembre 2007, que Le Figaro s'est procuré, Paris se serait engagé à garantir le paiement dû aux parties civiles.

L'État français, quoi qu'il s'en défende, pourrait bien être contraint de garantir le paiement des 6,3 millions d'euros de dommages et intérêts dus par les condamnés de L'Arche de Zoé, en vertu de la décision prononcée fin décembre, par la justice tchadienne. Le ministre tchadien de la Justice a adressé mardi à Rachida Dati, par l'intermédiaire de l'ambassade de France à N'Djamena, un courrier dans lequel il précise : «La compétence d'exécution de la décision de justice tchadienne a été transférée à la France, qui seule garantit l'effectivité du paiement des intérêts civils.»

Sarko et Fillon, super menteurs !

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24 mars 2008

Sarkozy vu de l'étranger

Le New York Times prône la "discipline" à Sarkozy, "Président Bling-Bling"...

Nous aussi!

AFP - Samedi 22 mars, 16h20

WASHINGTON (AFP) - Le New York Times recommande samedi un peu plus de "discipline" dans la conduite des affaires au président français Nicolas Sarkozy dans un éditorial intitulé "Président Bling-Bling".

Evoquant comme un "camouflet" pour le président le résultat des récentes élections municipales et cantonales françaises, l'influent quotidien estime que "M. Sarkozy a été puni pour toutes les bouffonneries médiatisées et peu présidentielles qui lui ont valu le sobriquet de "président Bling-Bling".

"Pour un homme politique qui a travaillé si longtemps et si dur pour arriver à l'Elysée, M. Sarkozy a démontré de curieuses notions sur comment se conduire une fois dans la place", ajoute le journal.

"Son divorce tumultueux et son remariage presque immédiat à une chanteuse- mannequin glamour ont été quelques unes des initiatives les plus sensationnelles qui ont valu à Sarkozy la couverture de 252 magazines en 2007", indique l'éditorial.

Le New York Times rappelle également comme des preuves "de mauvais jugement" sa décision de "mettre fin abruptement" à une interview avec la chaîne américaine CBS, de "qualifier son porte-parole d'imbécile" ou "sa remarque grossière à un type refusant de lui serrer la main".

"Ces potins sensationnels ont été assortis de messages confus du gouvernement de M. Sarkozy, le président et ses conseillers souvent parlant et agissant en porte-à-faux avec les ministres", écrit le quotidien.

"Avec de la chance, poursuit le New York Times, le camouflet des élections sera juste ce dont M. Sarkozy a besoin pour concentrer à nouveau son énergie illimitée sur ce qu'il a promis: de sérieuses réformes économiques".

M. Sarkozy "est de loin trop bouillonnant pour devenir un clone de ses pompeux et graves prédécesseurs mais lorsque la conduite d'un homme politique interfère avec sa mission, il est temps d'appliquer une dose de discipline", conclut l'éditorial.

10 février 2008

Sarko news, le feuilleton continue

Le verni commence sérieusement à s’écailler

On se montre, on se met en scène, on s’expose, on s’exhibe, on en rajoute, on en raconte, on en redemande, on fait le beau, on joue les séducteurs, on veut un grand destin, on veut un grand amour, jusqu’au jour où l’on se rend compte que l’on n’a pas les épaules pour !

Et là, boum ! Méchant gadin !

Et comme Nabot 1er n’est pas le genre à se remettre en question et à s’interroger sur le pourquoi du comment d’une situation devenue de plus en plus ingérable, alors qu’il l’avait tant calculée, pesée, soupesée, organisée, ce n’est pas près de s’arranger ! Eh oui, il vient toujours un moment où l’on se prend l’élastique dans la face. A cause des autres, bien sûr ! Jamais à cause de soi. C’est tellement facile !

Ouh, qu’ils sont méchants les journalistes qui fouinent comme ça !

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« Les feux de l’amour » à l’Elysée

Alors, oui, il n’est pas très glorieux, ni très professionnel de divulguer des sms privés ! Mais à force de tout mélanger, de jouer copain copain avec les médias, et de servir de la romance pour faire oublier ses incapacités à gouverner, ce qui devait arriver est arrivé ! On se balade main dans la main à Euro Disney, on se promène dans les ruines de Petra cheveux au vent et le regard vers l’horizon, on offre la même bague à la nouvelle qu’à son ex, on résume l’aventure à « c’est du sérieux », on se bécote comme deux ados dans les jardins de Versailles, et surtout, on finit par nous imposer une première dame de France bling bling, et tout ça, pourquoi ? Dans le seul but de nous montrer qu’on peut toutes les avoir à ses pieds (et indirectement de rendre Cécilia jalouse), et surtout dans l’espoir de remonter dans les sondages. Et le rapport avec la politique est clair : la droite va se prendre une déculottée aux municipales !

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Deux arroseurs arrosés pour le prix d’un

Donc, sms une semaine avant les noces à l’ex femme de sa vie : « Si tu reviens, j’annule tout. » Et les journalistes de sauter sur l’occasion pour pimenter le grand feuilleton. Et Sarko qui joue les mijaurées : « non, mais c’est dégueulaaaaasse » et d’assigner au pénal. Pourtant, il devait bien se douter qu’il allait finir par se faire prendre à son propre piège un jour ou l’autre. On fait son jogging pour se rapprocher du peuple, on étale ses conquêtes comme les pipoles, et après, on se scandalise de ne pas être traité comme un Président de la République !

Une autre qui n’avait pas vu le vent tourner, c’est la Carla, la grande mangeuse d’hommes, la superbe prédatrice, finalement faire-valoir d’un petit joueur en manque de paillettes, et épousée vite fait bien fait pour sauver les meubles !

Mais c’est trop tard, le bateau coule !

2 février 2008

Love story chez Mickey!

Pourtant, on nous avait toujours dit qu’à la fin, Blanche Neige épousait le prince charmant !

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29 décembre 2007

Une tente de bédouin dans les jardins de l’Elysée et une bimbo dans la voiture du Président…

Ou les symboles, ce n’est pas fait pour les chiens !

Décidément, il y a des lendemains de fêtes qui déchantent ! Non content de nous infliger la visite d’un terroriste notoire aux déclarations fracassantes, notre jogger national, dans la foulée, une « information » chassant l’autre, permet à la presse (et aux touristes !) de prendre quelques clichés de sa visite à Eurodisney au bras de Carla Bruni, future première dame de France ou manipulatrice hors pair (ou les deux à la fois). Mais il n’y voit que du feu, le petit Nicolas, tellement fier de s’afficher avec un mannequin au joli minois qui pousse la chansonnette. Sa fascination pour le showbiz le perdra !

D’après les déclarations d’un proche du Président (il faut bien le désigner par son titre, même si cela nous coûte et nous paraît encore, plusieurs mois après son élection, quatrième dimensionnel) citées par Yahoo news (vendredi 28 décembre) : " Rien ne l'arrêtera ! Il est trop heureux, trop bling-bling (sic). Carla, au fond c'est la Rolex de la gent féminine  ". Ou bien encore, toujours selon les mêmes sources, concernant la liste interminable des ex-amants de la dame en question : "(...) cela ne le dérange pas. Au contraire, il a l'impression d'entrer dans le club mondial des grands séducteurs !"

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Tout est dit ! Mais peut-être faudrait-il néanmoins rappeler à Nicolas Sarkozy que la fonction de Président de la République française (mais oui, vous le savez bien, la France, ce pays au passé glorieux et à la culture prestigieuse) nécessite un minimum de panache. Etre président de la France ne sert pas seulement à épater ses petits camarades dans une cour de récréation grande comme l’Hexagone !

Et par pitié, que l’on ne nous serve pas l’éternel refrain sur le subtil distinguo entre la vie privée et la vie publique du locataire de l’Elysée ! Etre président est un rôle que l’on endosse à temps plein et non pas un « job » que l’on effectue seulement aux heures ouvrables tel un fonctionnaire. On se doit d’incarner la France, de porter sur ses épaules le poids de l’histoire nationale. Chaque parole prononcée, chaque geste posé porte à conséquence et engage le pays et ses 62 millions  de citoyens auprès du reste du monde. Les symboles sont à manipuler avec la plus grande délicatesse et la plus subtile des réflexions.

Aussi, cette romance entre Nicolas et Carla que l’on tente de nous vendre, clichés pitoyables d’un voyage en Egypte à l’appui, version main dans la main et ma tête sur ton épaule, « dis-moi des mots doux, oh mon amouuuur ! », ne constitue rien d’autre qu’un message commercial (et même pas subliminal) où le Chef de l’Etat affirmerait, comme le souligne si justement Alain Finkielkraut, sans honte et sans sourciller : « La Star Ac’ et Euro Disney, c’est mon univers, et je n’ai pas à me justifier ».

« En effet, nous sommes entrés, avec son onction, dans une société post-culturelle ».[1]


[1] Alain Finkielkraut, émission Répliques

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14 novembre 2007

Pendus, les fonctionnaires grévistes! Pendus!

Non contents, pour des motivations d’un autre âge, d’empêcher les honnêtes gens de se rendre à leur travail, les grévistes se permettent d’intimider leurs collègues non-grévistes afin de bloquer un peu davantage notre beau pays. Le Figaro nous apprend aujourd’hui que des menaces du genre « Si tu ne fais pas grève,  on va te péter ta bagnole ! »[1] (on reconnaît là leur sens aigu de la rhétorique !) sont fréquentes. Et le phénomène n’est pas nouveau : un conducteur de métro parisien avait découvert, en 1995, les pneus de sa voiture crevés car il n’était pas apparu assez coopératif aux yeux de ses camarades ! Néanmoins, malgré les insultes et les délits commis, « la direction de la SNCF (…) n’a pas jugé nécessaire de prendre des mesures particulières de sécurité en faveur des non-grévistes. »[2] La dictature des syndicats a donc encore de beaux jours devant elle !

[1] Le Figaro, http://www.lefigaro.fr/politique/2007/11/14/01002-20071114ARTFIG00012-si-tu-ne-fais-pas-greveon-va-te-peter-ta-bagnole-.php

[2] ibid

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30 octobre 2007

Rachida Dati : Et en plus, elle a menti sur ses diplômes !

On savait déjà que Rachida Dati, Ministre de la Justice de l’actuel gouvernement, n’avait jamais passé le concours d’entrée hautement sélectif pour suivre le cursus de l’Ecole Nationale de la Magistrature. Elle avait la possibilité d’utiliser la « procédure d’intégration sur titres » pour y être admise. Mais pour cela, elle a menti sur ses diplômes.

Elle s’est en effet inventé un MBA (Master of Business Administration) européen du groupe HEC-ISA afin de remplir les critères qui lui offrait l’accès au prestigieux établissement. Et pourtant, elle n’en est titulaire que dans son imagination. Elle est bien une ancienne élève de l’ISA, mais son diplôme final n’a jamais été validé : « Il lui manquait deux « électifs », des matières à option indispensables pour obtenir le titre »[1].

Bel exemple d’un comportement éthique donné par « cette jeune femme frêle et séduisante, ni élue ni énarque »[2] propulsé quelques années plus tard Ministre de la Justice !

Alors, comment en est-elle arrivée là ? Rachida Dati flirte au départ avec le PS (elle présente en 1989 sa candidature aux Groupes européens de mobilisation, un cercle de réflexion lancé par la ministre socialiste des Affaires européennes, Edith Cresson). En 1995, elle s’approche de François Bayrou (il lui confie une médiation sur l’affaire du voile). Puis en 2002, après cinq courriers à Nicolas Sarkozy (elle envoie des lettres très insistantes ou multiplie les coups de fil à l’adresse de nombreux « décideurs : capitaines d'industrie, ministres, hauts fonctionnaires ou même chanteurs et journalistes... »[3]), elle est engagée dans son cabinet pour travailler sur le projet de loi sur la « prévention de la délinquance ».

Finalement, elle sera choisie par le futur Président de la République pendant la campagne, le 14 janvier 2007, pour devenir sa porte parole. Elle a pris soin de s’inscrire à l’UMP le mois précédent (quelle grande preuve de ses convictions !).

On connaît la suite. Sarko est élu, et elle devient Ministre de la Justice. Pour d’obscures raisons (quoi qu’on se doute un peu de la nature des motivations des uns et des autres), elle essuiera, dans les semaines suivant sa nomination, sept démissions au sein de son cabinet (dont son directeur, Michel Dobkine, le premier à jeter l’éponge le 6 juillet).

Autre coup d’éclat, les frères de Rachida Dati connaissent des démêlés avec la justice (Jamal Dati, a été condamné en 2001 à une peine de trois ans d'emprisonnement dont dix-huit mois avec sursis et condamné à un an de prison ferme pour achat, consommation et revente d'héroïne, et Omar Dati sera jugé le 17 novembre 2007 devant le tribunal correctionnel de Chalon-sur-Saône pour trafic de cannabis).

Pour toutes les raisons sus-citées, une seule conclusion s’impose : Démission !

Mais Rachida Dati bénéficie d’une protection (rapprochée ?) du Président de la République.

Et il est loin le temps où l’honneur signifiait encore quelque chose…

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[1] L’Express, « La face cachée de Rachida Dati », 25/10/2007, http://www.lexpress.fr/info/france/dossier/dati/dossier.asp?ida=460760

[2] ibid

[3] ibid

28 octobre 2007

Sarkozy joue les mijaurées

Quelle tenue ! Quelle prestance ! Le Président de la République a quitté le plateau où se déroulait une interview pour la chaîne américaine CBS parce qu’il n’a pas apprécié l’une des questions posées.

Un caprice de starlette qui figure déjà dans la bande-annonce de l’émission « 60 minutes » diffusée dimanche soir (19h sur la côte Est, soit 1h du matin en France).

Nicolas Sarkozy est attendu en visite officielle à Washington les 6 et 7 novembre prochains. No comment !

Voir la bande-annonce

25 octobre 2007

« Le meilleur d’entre nous »

C’est en ces termes élogieux que notre ex-Président de la République (que l’on va finir par regretter. Si, si, je vous assure !) parlait d’Alain Juppé, l’absent le plus présent de notre actuel gouvernement, celui qui ne fait pas mentir cet adage : « Ce sont les meilleurs qui partent en premier » !

Son successeur, Jean-Louis Borloo, électricien de choc, n’a pas hésité à faire changer toutes les ampoules de ce « super ministère de l’Ecologie » (décision courageuse et mesure salutaire pour la défense de notre planète menacée, relayées par l’ensemble des médias). D’autres mesures fracassantes ne tarderont sans doute pas puisque se déroule actuellement le marathon final du « Grenelle de l’environnement ».

Flash back sur une éviction programmée…

A l’époque des lendemains qui chantaient encore (pour nous autres, pauvres naïfs pleins d’espoir en la démocratie), Alain Juppé était nommé numéro 2 du premier gouvernement Fillon au ministère de l’Ecologie et du Développement durable, poste clé s’il en faut, coiffant également  les Transports et l’Energie. Seul ministre d’Etat, il revenait aux affaires (enfin !) dans un costume taillé à sa mesure. Il y avait là de quoi rassurer les électeurs de droite les plus sceptiques. Oui mais voilà, sa compétence, son envergure politique et sa liberté de ton pouvaient effrayer d’autres personnalités moins talentueuses.

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Pour la première fois dans l’histoire de notre république, le chef de l’Etat, suivi en cela par son fidèle premier ministre (ouaf !), décrétait que les élections législatives serviraient de caution populaire aux ministres nommés. Pour ajouter un peu de piment à l’affaire, Jean-Louis Borloo, dès le premier tour, s’exprimait sur le projet de la TVA sociale, fragilisant un peu plus les positions des candidats de droite menacés dans leurs circonscriptions, notamment celle d’Alain Juppé à Bordeaux.

Depuis quand le scrutin des législatives doit-il décider de la légitimité des ministres ? Alain Juppé a perdu à cause d'un petit pourcent d'électeurs bordelais, dont on a détourné le vote, pour décider de la composition du gouvernement. Jolie démonstration de démocratie donnée par le Chef de l'Etat !

Et si monsieur Sarkozy avait voulu aller au bout de son raisonnement, il aurait alors envoyé tous ses ministres aux élections. Cela signifie-t-il alors, toujours selon son point de vue, que ceux qui ne se sont pas présentés à un siège de député n'ont aucune légitimité ? Que dire dans ce cas du maintien au gouvernement de Rachida Dati ou de Bernard Kouchner par exemple, exemptés de législatives ?

Mais qu’Alain Juppé se rassure, il méritait de toute façon bien mieux qu’une place dans un gouvernement de pseudo-pipoles au garde à vous devant un Napoléon aux petits pieds…. (Que les deux Xavier nous excuse, ils doivent se sentir bien seuls !)

20 octobre 2007

Les maux de la République ou quand l’exécutif s’en mêle…

Je crois me souvenir, du temps où j’usais mes culottes courtes sur les bancs de l’école, que mes chers professeurs insistaient avec gourmandise, des trémolos dans la voix, sur la nécessité absolue, pour toute démocratie qui se respecte, d’appliquer avec rigueur ce que l’on appelle une « séparation des pouvoirs ». Pesait sur leurs épaules la lourde tâche de faire entrer dans nos crânes juvéniles les fondements de notre République et d’éveiller nos consciences citoyennes… Quel programme !

Alors, forcément, je m’interroge.

Lorsque Mme Rama Yade, secrétaire d’Etat auprès du ministre des Affaires étrangères, se rend auprès de « sans papiers», expulsables sur décision de justice (qui est indépendante comme dans toute démocratie), et exprime publiquement son désaccord, je m’interroge !

L’exécutif voudrait-il mettre au pas le judiciaire ?

Quand Mme Fadela Amara, secrétaire d’Etat auprès de la ministre du logement et de la ville, se prononce devant les caméras de la télévision et, je cite, trouve « dégueulasse » une loi proposée par le gouvernement auquel elle appartient, je m’interroge encore ! N’est-ce pas au parlement d’examiner, de discuter et d’amender un projet de loi ?

L’exécutif aimerait-il se passer du législatif ?

M. Bernard Laporte, lui, a tendance à croire que la « chose publique » (res publica en latin… Tiens, tiens, ça me dit quelque chose…) n’a pas grande importance : « J’aurai un nouveau métier, s’il me plait j’y resterai ; s’il ne me plait pas, et bien je ne le ferai plus. […] Mais j’irai avec beaucoup de convictions !... » déclare-t-il.  Si la « conviction » est là, nous sommes sauvés !

On est en pleine confusion des genres. Montesquieu doit se retourner dans sa tombe.

Finalement, pourquoi se compliquer la tâche ? Autant donner tous les pouvoirs à un seul homme et son équipe (de choc !)… On faciliterait ainsi le travail de nos chers pédagogues…

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